Son histoire : Tout a commencé au Texas. La tempête rageait ce jour là. Plusieurs arbres s’étaient écrasés au sol, dans un bruit assourdissant. C’est au millieu d’un grand désert -- en fait c’était une plaine ^^ --, que Driv’ est né. Le vent souffla trois fois, puis une dernière, avant qu’un horrible cataclysme ne se prépare. Tout les chevaux se redressèrent, et cherchèrent des yeux une sortie valide.... À priori, il n’en avait aucune... Les nuages se mirent à recouvrir le ciel d’un noir inquiettant, et la mère de Driv’ ( Incadescent Worries ) arracha une hénissement de guerre. Ses oreilles se dressèrent, puis se replaquèrent. Son père, simple étalon soumis au nom de Grand Tor, s’approcha du poulain avant de regarder avec ficité au loin, dans la forntières de collines; Un troupeau de millier de bipèdes, de ces humains, arrivaient à grande course, enjambant les fourrés et les broussailles de quelques foulées. Leurs chevaux, des arabes. Fins, trop fins même, on aurait dit que leur bride était si grande qu’elle aurait tombée l’isnstant d’après. Les pauvre, ils se faisaient martyrisés à coups de cravaches et de coups d’éperons. Un autre, fourbe, avait tombé dansla colline, les membre déchiquetés. Incapable de continuer leur folle course, les deux périrent dans le silence d’or, rythmé au bruit des sabots qui martellaient avec épuisement le sol.
La Grande Noire regarda sa soeur d’un oeil inquiet, avant de commencer une folle course, à elle aussi. Puis, un autre... Un énergumène effrayant qui avançait dans un véhicule motorisé. On entendait quer son moteur qui toussotait, dans un vombrissement à faire hurler les coyotes. Le parfait cataclysme à notre égard, les hommes, les humains... Je me souviens déjà quand j’ai vu l’un d’eux courser , sur un écran lumineux. Les cloches sonnèrent rapidement, et il défonça la porte d’un coup rudement bien placé. Sa course endiablée commença en quelques secondes, et son jockey le forçait à aller plus vite... Non mais, il était déjà en tête, laisse le respirer que diable ! L’animal fonçait à vive allure, la langue pendante... Le spectacle faisait pitié à voir, même si malgré tout, les gens acclamaient et hurlaient de joie.
Le spectacle envers les arabes ressemblaient à ça, même qu’en pire, car l’un d’eux saignait abondemment. Paf, ce-dernier s’edcrasa au sol, inerte, inncapable de bouger et ce, pour le reste de sa vie. Worries Regardit son poulain... Non, pas lui... Il allait se fairte voler n’est-ce pas? Encore... Encore un autre poulain de voler. Puis, son regard s’attarda sur la jument de tête des hommes. Son coeur failli arrêter de battre, et à son plus grand regret, sa fille, Avenger’s Delights gallopaient au sein des nombreux cow-boys. Maintenant, incapable de bouger, la jument regarda son fils... Innocent, à pourchasser un papillon géomètre de couleur noire -- un problème de pigmentation --, avant d’hénnir à tout rompre à sa fille. Celle-ci l’ignora promptement, redoublant d’ardeur, ses yeux bicolores protrés dans le regard innocent d’un jeune nouveau-né. Le poulain alezan regardit donc la troupe ou sa harde, lui faire signe de décamper au plus vite, mai le forbe, il était à peine né, et ne pouvait pas galloper.. en tout cas pas encore... Le chef de tête, montee sur la jument chocolat la tallonaient avec insistance, ne tenant pas compte de l’acharnement de la bête, qui faisait tout ce qu’elle pouvait pour aider son maître. Ce-dernier daiogna un revolver, qu’il pointa au postérieur du poulain.Le reste, le petit s’avacha au sol et se fit ramassé par les hommes qui passèrent, avant d’être installé avec d’autres poulains dans un 4X4. Driv s’était réveillé... Personne n’allait lui dire ou étaient ses parents... Ses yeux se fermirent peu à peu... On le força alors à regarder els entraînements des autres chevaux, plus vieux... Un aîné fût le suivant, l’aîné de sa harde... Le spectacle en était traumatisant, et il n’arrêtait pas d’hénnir. Ses yeux, aveuglés et mouillés par des larmes se posèrent sur la sillouhette inerte de son dominant, avant de recevoir de plein fouet une giffle de la part d’un employé. Et ce spectacle dura encore trois jours, quelques semaines, des mois... La plupard des chevaux mourraient, et d’autres, se pliant aux ordres de leur maîtres... Une dernière, une jeune pouliche, la fille de sa tante, tuée, lacérée avec souffrance. Il n’allait pas pleurer, il ne se le devait plus. Il regarda le carnage sans ciller sans rien dire... Un visage neutre, aucun sourrire, aucun visage tiste... Un regard frod à l’égard de tous... Rammenee aux écuries d’extérieur, un autre entraînement suivi. Driver se renfermat petit à petit. Il regardait l’enmtraînement intenif d’un isabelle qui s’effondra sous le choc. Le regard neutre, le jeune poulain regardit tout ça, sans rien dire. Il se foutqait à présent de ce qui passait... Celà n’avait diuré que quelques mois... Jusqu’à son âge yearling. Là, c’était SON tour d’être dressé pour le pony express. On le fit sortir des écuries, en le tirant par ses rênes et il suivit docilement au début. Puis, un mini corral, où l’on l’envoya dedans, on essayai de lui mettrele mords dans la bouche, impossible. Il se laissa faire finalement, son regard meurtrier planté dans celui de son sans doute futur maître. Pauvre homme, qui a dût passé un sale quart-d-heure. À peine sur le dos de l’animal, le fou bronco s’élança dans un rodéo tueur à gage, en ruant, en se cabrant et en effectant des saut prodigieux. L’homme tomba au sol, un bras cassé, pronto à l’hopitâl.Puis, c’en était un autre, puis un, tous jettés au sol par cet impréssionant énergumène qui mettait à terre tout ses adversaires. Incapable de le dresser, il voulûrent le tuer. Non, impossible. L’animal s’élança vers la main tremblotante du mec, qui s’effondra au sol, mort lui aussi. L’étalon regardit les autres chevaux dans l’écurie, en les fixant un à un.
- Si vous n’êtes pas des faibles vous serez capables de sortir de là par vous même.
Fulmina-t-il d’un ton glacé. Sur ce, il parti au galop, s’en alant de l’endroit ... Comment ? La porte principale était ouverte, et il ne se fit pas prier ... Quelques chevaux le suivirent donc, ceux qui avaient été capables de sortir... Une jument et un étalon, c’était les poulains avec qui il se tenait souvent. Les seuls qui avaient le droit à un sourrire de sa part, les seuls qui pouvaient entammer une conversation avec lui sans qu’il ne bronche. Mais ces amis, ils n’allaient pas faire long feu longtemps. Plaquant les oreilles, l’animal guida les chevaux dans un grand trot, la tête basse. Ses naseaux rasaient à peine le sol, et sa queue panachée sur sa croupe baie, telle un drapeau qui flottait dans le vent. Cherchant des yeux la forêt de sa jeunesse, il chercha quelques jours, avant de l’atteindre... Tout les chevaux, morts décimés par milliers. Il recconût la Grande Noire, la promise d’un dominant tué, puis, sa mère. Mais contrairement à vos espérences, il ne dit rien, et ses yeux ne lisaient pas la peine, ni la rage. Il était dans une profonde transe devant les corps de sa famille, qu’il n’avait que si peu connu. Le pony express ne servait à rien, sauf à décimer des chevaux “légalement” ... Driv’ abaissa l’encolure, puis la releva brusquement. Une nouvelle odeur impregnait ses naseaux, l’inquiettant de belle. Il etta un regard à son amie, puis, à l’autre avant de gronder, deux repliures se fromèrent au niveau des naseaux. De la dense fummée s’éjecta dans l’air et ses oreilles se plaquèrent avant d’injurier de tout les dieux, deux arbres derrières tombèrent, frôllant à peine sa croupe, et sa pupille se rapetissa. Il fonça comme un forcené, toute la végétaton brûllait dans un carnage dévastateur. Plusieurs polatouches emprumptait la voix des airs, mais se firent tout de suite calciner. Les flammes ardentes dansaient comme les vent les ordonnait, et les chevaux gallopaient à contre courant. Cherchant vainement la rivière, il chercha de l’oeil la jument... Trop tard, elle s’était effondrée, maintenant les flammes la recouvrant de ses couleurs écarlates. Une rage profonde s’empara de Deadly Driver qui suivit le chemin avec le second étalon. Les deux courraient à perdre haleine, les sabots martellaient, tabassaient et glissaient dans la boue sans courage. Fuyant, coursant contre la montre, il aperçiurent enfin la rivière, se situant à l’orée du bois. Leurs crinières claquaient sur leurs garrots autant que leurs sabots sur le terrain accfidenté. Driver fonçait, et son ami également... Ils s’arrêterent tout les deux dans un slide glissant, en cherchant avec acharnement un chemin ou se sauver... Mais en vain, le seul chemin valide était de suater par-dessus les flammes pour éteindre dans la rivière. Prenant leur courage à deux mains, les deux équidés foncèrent à vive allure, avant de se rassembler, et d’étirer les membres le plus haut et loin possible. L’encolure plus qu’allongée, les flammes ardentes et les ronces griffaient avec envie les membres des deux amis. Driv s’évacha dans l’eau, dans un terrible splash, avant de soupirer satisfait. Un grand sourrire orna ses lèvres, il était sauf. Puis, son coeur failli s’arrêter de battre, son regard regardant avec fixité le cadavre de son ami... Un grand cheval blanc, plus vieux, ayant plus d’audace et de logique que n’importe qui, mort, décimé comme la jument la plus belle et la plus généreuse de toutes. Son regard neutre, mais les yeux équarquillés, il fixa le cadavre putride de l’étalon blanc comme la lune, en décomposition... Il plaqua les oreilles, avant de tourner les talons, puis de jetter un dernier regard à la forêt, maudite par les hommes.
- Vos vies ne tenaient qu’au bout d’un fil. Je jure de vous venger...
Sur-ce, il reprit son regard en directgion de l’horizon, les pas flasques, boitant du postérieur droit... Sa crinière et sa queue avaientt passés sous les flammes, et une branche avait solidement écrasé son garrot. L’animal avait donc pris le chemin pour les terres d’Incarnes Ta Passion, dans l’unique but de vanger les siens...
Ses objectifs pour l'avenir : Il n’en a pas, il vit au jour le jour.
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